Entre l'observation et l'interprétation des faits sociaux ou naturels la politique s'affirme et s'impose comme reine.

mais n'être en mesure de les prédire,  de dégager les causes ou faire en sorte que les conséquences soient amoindrie.

En fait, si les sentiments mènent l'histoire et la raison crée la science alors des hommes raisonnables , formés , doivent  être   des gardiens  de l'état, d'opérer les première places.

Le psychologue Gustave Le Bon a dit dans l'ouvrage intitulé  " la psychologie politique et la défense sociale " que la vie politique est une adaptation des sentiments des hommes au milieu qui l'entoure. Néanmoins,  quand le milieu change les sentiments des hommes politiques changent aussi. Ainsi, disait Aristote, que l'homme est un animal politique. Cependant, l'homme avant d'aimer la politique doit aimer l'homme,  doit aimer la  terre . Ce n'est pas  le désir de gouverner qui doit être primé . Si non l'homme serait comparable à un animal qui a été surpris  de la rage. Donc il serait méchant à son semblable voire à lui même.

Il est beaucoup plus aisé d'observer un fait en politique que de l'interpréter , car un tel processus demande de découvrir les causes et des prévisions qui doivent adopter pour éviter  des graves conséquences.

Les difficultés s'accumulent et les explications varient considérablement.

Pour convaincre,  c'est à dire , pour arriver à une juste solution,  les hommes  politiques (les politistes) doivent examiner les théories  contradictoires , révélées par la série de règlement des lois sur la protection de l'environnement et de l'aménagement du territoire ou tous simplement les écrits des spécialistes en la matière. D'ailleurs, si l'interprétation des phénomènes était aisé,  nous serons d'accord sur tous , donc en réalité nous ne serons  certains de rien.

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