Le séisme du 12 janvier2010 reste et demeure une tâche indélébile dans la mémoire des haïtiens.

un peuple qui oublie son histoire est condamné pour la revivre de façon plus humiliante.

Winston Churchil

Assistance mortelle, un n documentaire à voir et revoir.

Le séisme du 12 janvier à été un événement qui a bouleversé la structure sociale, économique et politique haïtienne. Ce serait un moment opportun pour qu’Haïti soit construit, non pas reconstruit, d’une façon démographique en aménageant les territoires. Par compte, Haïti se trouvait entre les mains des géants, aux mains des maitres du monde, qui donnent et prennent tous comme ils veulent.
Un monde unit d’une idée, l’idée de s’enrichir, surtout les grandes puissances impérialistes, au détriment des petits. Pourquoi ce sort combien tragique a-t-il frappé Haïti sachant les problèmes sociaux-économiques voire politiques auxquelles se pataugeait le pays ? Tenues comptes des miracles qu’elle à opérée dans l’histoire pour l’enquête de la libération individuelle, la souveraineté d’une nation, la suppression de l’esclavage dans le monde ? Pourquoi malgré tant d’argent, tant de million investit dans cette île caribéenne la vie reste un lourd fardeau aux yeux de tous en Haïti ? Un cours regard sur le documentaire dénommé assistance mortelle de Raoul Peck, l’ancien ministre de la culture en 1996, nous aidera mieux de tracer le malheur de ce petit pays, Haïti.

Assistance mortelle un documentaire reflétant la réalité de main mise de l’internationale sur Haïti dans toute son intégralité. Produit par REMI Grellety, HEBERT Peck et RAOUL Peck sous la direction de la production ARTE THEMA.

Haïti, le pays le plus pauvre de l’hémisphère de l’Amérique, a été un sujet d’intérêt mondial. L’intérêt géopolitique, religieux, harmonieux, social, et économique. Soit plus de quinze pays promettent d’aide à Haïti, en effet, pour gérer ces aides promis pour reconstruire Haïti une commission fut créée le 21 avril 2010, la commission intérimaire pour la reconstruction d’Haïti, CIRH. L’argent se débloque, la CIRH, représentant formel de l’international ne fait, rien que de s’enrichir. Rien ne fait comme l’avait promis la CIRH.

Un Etat n’est plus si la majorité des ses besoins restent aux dépendent des autres. Le président sur place, RENE Préval ne peut plus qu’attendre l’international par le biais de la MINUSTHA, pour donner le résultat du scrutin du 2010. Un résultat qui doit marcher avec celui de la mission OEA ou de l’international. Depuis janvier 2010 les fissures sont loin d’être réparées. La terreur et les secousses sont encore là. Mais Haïti, comme toujours, reste optimiste envers et contre tous. Parce que nager dans le pessimisme c’est choisir tout simplement de ne pas apporter sa pierre participative en adoptant une attitude de spectateur passif face à une situation très compliquée.

SAINT-JUSTE JUNIOR.